Foisonnant de références, l’essai de Michel-André Lévy se lit comme un roman. L’ humour s’y mêle à l’érudition, et c’est avec un véritable talent de conteur qu’il nous entraine danseur les traces des rois sans oublier une savoureuse anthologie des sobriquets de toutes ces têtes couronnées.
Dominique Grimardia