Exposition au jeu de Paume sur Fellini
Exposition au titre ambitieux Tutto Fellini «Fellini, La grande Parade»
retraçant le parcours de Fréderico Fellini sur une thématique,
mettant en avant les axes de création et sur quelles types d’événements il s’est attachés
afin de les traduire les recréer,
Mettant à profit le cinquantenaire en 2010, d’une des oeuvres majeur de Fréderico Fellini La Dolce Vita, une des oeuvres majeur de fellini. Majeur par l’impacte que ce film a pu avoir lors de sa sortie, film finissant d’une certaine manière l’époque du néo réalisme iltalien par une sorte d’ironie nous n’avons plus les difficultés au quotidien de l’Italie de l’après-guerre, avec les difficultés de monde ouvrier italien, mais celle de la bourgeoisie.
Visconti, Rosselini, c’était aussi attaché à dépeindre et à analyser cette classe sociale. Mais le partis pris de Fréderico Fellini de dépeindre que le superficielle, les coulisses du travail des paparazzis, les fêtes les sorties, toutes les coulisses de des soirée romaine et tant prisée des magazines, et surtout de leurs lecteurs qui plébiscité par leur curiosité ce type d’information
Un goût du paradoxe qui apparaît bien lorsqu’il demande à Nino Rota, son compositeur favoris lorsque Fréderico Fellini lui demandait
d’écrire «un thème joyeux qui soit triste ».
C’est peut être ce goût du paradoxe qui illustre à merveille la période de La Dolce Vita (1960), Palme d’or au Festival de Cannes, puis de Huit et demi (1963) et Fellini Roma les filmes cultes de Fellini pour certains. Peut être a t’il su capter avec l’acuité d’un provencial de Rimini tout ce qui faisait l’image de ces fêtes Milanaise et Romaine.
Jean Cousin
Editor in Chief
Forks magazine
© 2009 Forks
