Malgré les enquêtes et titres de la presse, le scandale Streeteo continue. Le service presse de la Ville de Paris ne répond à aucune demande d’information sur ce sujet. Alors que pour France 3 visée par plusieurs abus, la société privée Streeteo – en charge de la verbalisation à Paris – doit maintenant affronter les réclamations de personnes handicapées. Mais les réclamations restent lettre morte : l’entreprise a un intérêt financier à ne pas répondre.
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Les saisies administratives continuent
https://www.forks.fr/the-meeting-demmanuel-macron-prise-de-risques/
Alors que les réclamations ne cessent de progresser, le coût pour les handicapés victimes des agissements de Sreeteo ne cessent d’augmenter. Temps perdu en démarches, coûts des recommandées, saisies administratives avec des avis à tiers détenteur, qui sont basés sur des amendes totalement fictives et irrégulières.
Malgré les enquêtes et titres de la presse, le scandale Streeteo continue. Le service presse de la Ville de Paris ne répond à aucune demande d’information sur ce sujet.
En 2018, Tf1 avait déjà relevé
Boulogne-Billancourt signale au Procureur de République les agissements de Streeteo
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour usage de faux et escroquerie après des dysfonctionnements
Pierre-Christophe BAGUET, maire de Boulogne-Billancourt, a décidé de saisir le procureur de la République de Nanterre sur le fondement de l’article 40 du code de procédure pénale.
Depuis le printemps dernier, des agents de la société Streeteo mandatés par la ville de Paris pour sanctionner les stationnements sur son territoire, sévissent illégalement sur la commune de Boulogne-Billancourt.
Dès les premières verbalisations illégales, le Maire de Boulogne-Billancourt a immédiatement adressé un courrier daté du 5 juin, à la Maire de Paris, Anne Hidalgo, et à Romain Menut, directeur général de Streeteo, afin de procéder à l’annulation sans délai des forfaits post-stationnement boulonnais.
Par courrier, daté du 29 juin, la Ville de Paris a précisé avoir « saisi la direction de la voirie et des déplacements chargée de la gestion du marché confié à ce prestataire, afin que ces obligations contractuelles lui soient rappelées notamment en matière de périmètre géographique de contrôle du stationnement payant». Or, force est de constater que la société Streeteo, qui n’a jamais répondu au courrier du maire, a continué à contrôler des véhicules stationnés à Boulogne-Billancourt durant le mois de juillet.
Le maire a donc dénoncé les faits au procureur de la République de Nanterre, sachant que le Parquet de Paris a déjà ouvert une enquête sur les curieuses pratiques de Streeteo.
La Ville appelle les boulonnais verbalisés à tort à se faire connaiîre auprès de la police municipale.
Malgré le rapport du Défenseur des Droits
Les actes irréguliers continuent, les constations de Streeteo société de droit privé sont par ailleurs repris au niveau de la Trésorerie de Paris amendeq deuxième division comme étant faites sous l’autorité de la police municipale de Paris. Nous avons demandé à la Ville de Paris de nous expliqur ce point, nous attendons la réponse. La question est de savoir si cette hyper activité ne serait pas liée à l’état des finances de la Ville de Paris.
Marie Combes